
Depuis le 1er juin 2021, le code de la Santé Publique évolue en ce qui concerne la législation liée au protoxyde d'azote. Pour rappel, ce gaz hilarant plus communément appelé proto se trouve très facilement dans le commerce sous forme de cartouches de gaz à siphon pour un usage principalement en gastronomie. Il est aussi utilisé dans le domaine médical comme anesthésiant. Outre son aspect délétère pour l'environnement (certains consommateurs jettent les cartouches en métal dans la nature), son inhalation n'est pas anodine : nausées, vomissements, brûlures, vertiges... Le danger réside aussi dans son association potentielle avec d'autres produits comme le poppers ou la cocaïne. Au vue du risque de désorientation, et de la baisse de...